jueves, 31 de octubre de 2019

2019 - Francamente, no creíamos que iba a ser tan baja la ejecución del presupuesto en inversión pública en Perú




Estamos llegando al penúltimo mes del último año de la segunda década de este siglo; en su momento dijimos que este 2019, no iba a significar un buen año para el gasto de presupuesto público en inversión pública, causado principalmente por municipalidades que vienen acomodándose (ALTA ROTACIÓN DE PERSONAL RESPONSABLE DE LA INVERSIÓN), y la permanente aparición de normas (INESTABILIDAD DE REGLAS DE JUEGO) que sumado a un entorno agudo de "Ruido Político", hacen que hoy día 31 de octubre Día de la Canción Criolla, Halloween y de la última procesión del Señor de Los Milagros, la ejecución del presupuesto público, asignado a inversión, sea de 45.4%, pudiendo ser superior al 70 puntos, a estas fechas. Lo bueno, es que estamos a 2.03 puntos porcentuales por encima del año pasado a estas fechas; por lo que nos viene a la mente: ¿No deberíamos repensar en una reingeniería del sistema de presupuesto público y del sistema de contrataciones del estado?, Pues nunca fue el SNIP el problema...

Por Rany Francisco Rodríguez Reátegui     

domingo, 22 de septiembre de 2019

QUISTOCOCHA LA PROPOSITION EN TANT QU'ASSOCIATION PUBLIQUE PRIVÉE


RANY FRANCISCO RODRIGUEZ REATEGUI
Économiste
Septembre 2019

"CONTENU DE LA PROPOSITION EN TANT QU'ASSOCIATION PUBLIQUE PRIVÉE".

I. CONTEXTE
II. DIAGNOSTIC
III. APP PROPOSITION



I. CONTEXTE

Le zoo de Quistococha occupe une superficie de plus de 369 hectares et la lagune de Quistococha environ 60 hectares, tandis que la superficie du zoo aménagé est d'environ 8 hectares. Quistococha est situé à seulement 6,54 km de la ville d'Iquitos, capitale de l'Amazonie du Pérou. Le zoo abrite de nombreuses espèces d'animaux typiques du bassin amazonien, notamment des alligators, des tapirs, des rongeurs, des pumas, des jaguars, des singes, des serpents, des loutres géantes et une magnifique collection d'aras et d'autres oiseaux originaires d'Amazonie. Il y a même un groupe de singes sauvages qui vivent dans les arbres qui entourent le lac. Outre les animaux, il existe un jardin botanique avec de nombreux spécimens d'arbres marqués et une collection de plantes médicinales.




















Le parc a toujours eu des problèmes d’entretien et de soins des animaux dans des conditions optimales: on observe des eaux sales, des piscines en mauvais état, des animaux négligés et en cage au milieu de la jungle, une honte internationale qui semble difficile à remédier, le tout attribué, fondamentalement au manque de fonds suffisants.

https://rpp.pe/peru/loreto/delfin-rosado-en-peligro-por-pesimas-condiciones-en-zoo-de-quistococha-noticia-976295

http://esecucollamadosnip.blogspot.com/2016/07/quistocochala-propuesta.html

I. LA PROPOSITION EN TANT QU'ASSOCIATION PUBLIQUE PRIVÉE.

Compte tenu des CARENCES EN SERVICES PUBLICS ET INFRASTRUCTURE PUBLIQUE, la proposition suivante est présentée: 

A. LA COMPOSANTE SCIENTIFIQUE

Quistococha est l'un des centres de recherche ex situ sur les espèces sauvages de la faune amazonienne en Amérique du Sud. 

Plus qu’un parc d’attraction touristique, il constitue un laboratoire d’enquêtes sur la faune amazonienne, avec la collaboration d’universités nationales publiques et privées, d’Amérique centrale, des États-Unis, d’Asie et d’Europe, avec lesquelles elles ont été divisées par spécialités, selon le type de Espèces. 














Ainsi qu'avec la participation permanente de l'Institut de recherche amazonien péruvien - IIAP. Par exemple, avec un groupe d’universités européennes, des CONTRATS DE CONCEPTION, DE CONSTRUCTION ET D’EXPLOITATION de laboratoires seront mis en place pour étudier le comportement du sanglier sud-américain (Sajino et Huangana). Les universités nord-américaines sont responsables des oiseaux, des reptiles et des les Caïmans et les serpents et en danger d'extinction.










Alors que certains centres de recherche tels que des ONG en Angleterre sont responsables de félins tels que Otorongo, Yanapuma et Tigrillo afin d'analyser leur comportement en captivité et les coûts de maintenance, y compris les reproductions et donc les actions de repos Il en va de même pour les primates, les rongeurs tels que Majaz el Ronsoco et un autre groupe de chercheurs en charge de Tapir ou de Sachavaca, pour citer certaines interventions, considérant toujours que les centres de recherche d'Europe et des États-Unis sont ceux qui ont la plus grande gestion de risque (RÉPARTITION DU RISQUE DANS LA PARTIE DU CONTRAT QUI PERMET DE LE GÉRER AU MIEUX)

De la part du gouvernement péruvien, l’Institut de recherche de l’Amazonie péruvienne IIAP, en tant que récepteur et gardien des travaux des universités internationales, joue un rôle déterminant dans sa contribution à la vie sauvage amazonienne et présente les particularités qui se manifestent dans divers habitats en fonction des régions. de l'Amazonie péruvienne.

Le Pérou tire parti des travaux de recherche sur la conservation et la restauration des espèces menacées, en tenant compte des recommandations, des lois et des manuels techniques du ministère de l'Environnement, ainsi que des technologies partagées et transférées sur des études d'espèces jamais étudiées auparavant. permettant L'ÉCONOMIE DU COÛT D'EXPLOITATION, y compris l'entretien des espèces du Zoo, assumés par ces institutions étrangères. En plus des avantages de l'employabilité du personnel qualifié de nos universités et des travailleurs des quartiers proches du parc.

Maintenant, du côté des avantages obtenus par les centres de recherche et universités susmentionnés, il y a la disponibilité des installations du parc, y compris l'accès, les permis et autres licences dans lesquelles les fonctions de l'accord signé et de l'intervention directe sont développées avec les espèces qui correspondent à chacune d’elles, en conservant l’installation de leurs propres laboratoires "ex situ" dans leurs villes d’origine.
B. COMPOSANTE TOURISTIQUE

Quistococha serait un parc avec des habitats simulés pour le sauvetage des animaux. Pour toutes les espèces qui font partie de la biodiversité de l'Amazonie péruvienne, son concept est de savoir qui sera dans une cage, c'est le visiteur et non le visiteur. AVEC DES CONTRATS TRANSPARENTS ET AVEC PRÉVISIONS D'ÉTUDES JURIDIQUES QUI ANTICIPENT DES RENÉGOTIATIONS FUTURES.

L'accès des visiteurs travaille avec des entreprises de tourisme invitées à faire partie du projet entre lodges, hôtels, agences de voyages et de tourisme, que ce soit dans l'investissement, dans l'opération en CONTRATS TRANSPARENTS et SPÉCIFIQUES, les retours de participation privés ont été analysés.

martes, 30 de julio de 2019

Débil inversión pública golpea las cajas municipales



Existen recursos, pero hace falta capacidad de ejecución, lo que está afectando el sector formal, indica el gerente de Ahorros y Finanzas de la Caja Piura, Marcelino Encalada

Caja Piura












Este año, con la entrada de nuevos gobernadores regionales y nuevos alcaldes en todo el país, la inversión pública se ha visto debilitada. 

Según cifras del Banco Central de Reserva (BCR), la formación bruta de capital creció 1,49% entre los tres niveles de gobierno; lastrada por la caída en las regiones.

Al haber debilidad en la inversión pública se enfría el sector construcción en el interior del país y ello está afectando las cajas municipales, que son agentes importantes en el financiamiento de diversas empresas que dependen de este rubro.


Piura, por ejemplo, es una región que está sufriendo por las demoras en la ejecución de los proyectos de la reconstrucción. El gerente de Ahorros y Finanzas de la Caja Piura, Marcelino Encalada, advierte que el 2019 está siendo un año bastante duro.

“No se vienen desarrollando los proyectos que quisiéramos a través del Estado y eso arrastra la inversión privada”, señaló el ejecutivo.

En esta línea, agrega que el problema se debe a que hay proyectos pendientes aún cuando existen recursos para ejecutarlos. Es importante recordar que este año el gobierno ha destinado una proporción históricamente alta del presupuesto público para los agentes subnacionales.

El gerente de la caja financiera precisó que las microempresas, las pequeñas y las medianas empresas del sector formal son las que contratan con el Estado y reciben el impacto.

RESPUESTAS

Ante esta coyuntura complicada, Encalada resalta que la estrategia de la Caja Piura es buscar nuevos mercados, es decir, ir a lugares donde no hay oferta de créditos.

“Estamos creando una red de clientes en donde no entren los bancos”, afirma.

Además, anota que la caja abrió los 333 cajeros automáticos que tiene en oficinas donde no existe oferta bancaria, de modo que puedan ser usados por otras empresas del sistema financiero.

domingo, 10 de marzo de 2019

Priorizarán atención de inversión pública en el sector salud


 sector salud









El Comité Intergubernamental de Inversiones en Salud desarrolló la primera reunión de coordinación con la finalidad de priorizar obras en el sector salud en cada una de las provincias.

Al respecto, el director regional de Salud, Walter Bedriñana refirió que cada provincia ha presentado una lista de proyectos que podrían priorizarse para su ejecución. “Se ha priorizado una lista de inversiones en salud de acuerdo a algunos indicadores que serán evaluados por el ejecutivo regional”, comentó. Agregó que los proyectos que se priorizarán serán aquellos centros de salud que cumplen con los requisitos.

“Se atenderá a los establecimientos de salud que no fueron intervenidos en los últimos cinco años, los que tienen terrenos saneados físico y legalmente, los que tengan expediente técnico, pérfil o estudios”, acotó. Asimismo, precisó que los gobiernos locales apoyarán el trabajo de gestión ante el gobierno nacional. “Los alcaldes tienen claro que debemos articular el trabajo para lograr el presupuesto para los proyectos de inversión público”, señaló.

El Ministerio de Salud (Minsa) apoyo el trabajo con asistencia técnica en la priorización de proyectos de inversión. “Año tras año vamos a programar la ejecución de proyectos en el sector salud”, finalizó.

miércoles, 20 de febrero de 2019

BCR: inversión pública de los municipios cayó en 80,2% El descenso coincide con la llegada de los nuevos alcaldes. Los peores registros estuvieron en las regiones Lima, Arequipa, Áncash y San Martín

(Por Nicolás Castillo y Katherine Maza) Estacionalmente, enero se ha caracterizado por ser uno de los meses de menor inversión pública de todos los niveles del gobierno. Este año, no ha sido ajeno a ese comportamiento, pero también ha empezado a influir de manera negativa –tal como se esperaba– la gestión de las nuevas autoridades subnacionales.

Según cifras recopiladas por el Banco Central de Reserva (BCR), la inversión pública anualizada del gobierno general creció 14,4% en enero, lo que implicó una desaceleración frente al 15% alcanzado en diciembre pasado. Solo en enero, el gasto en inversión de todo el Estado cayó en 12,4%, asociado al menor desembolso en proyectos de infraestructura de los gobiernos municipales.



La inversión anualizada realizada por esas autoridades, que participan con el 46% del total, aumentó en 17,8%, un ritmo menor en 1,7 puntos porcentuales que el de diciembre (19,5%). Esto, debido a que en enero último –en que empezó la gestión de los nuevos alcaldes–, la inversión pública cayó en 80,2%.

De acuerdo con el BCR, la menor inversión de los municipios se registró en todos los departamentos del país, principalmente en Lima (S/35 millones), Arequipa (S/14 millones), Áncash (S/10 millones), San Martín (S/10 millones), Loreto (S/9 millones) y Apurímac (S/8 millones).
Economía peruana
Lo anterior podría convertirse en un reto mayor para el Ministerio de Economía y Finanzas, que espera una variación positiva de la inversión pública para este año. Recientemente, tanto el ministro como viceministro de Economía, Carlos Oliva y Hugo Perea, han sostenido que el MEF ha tomado medidas preventivas, citando con anticipación a las nuevas autoridades para capacitarlas y apoyarlas a fin de que la desaceleración de la inversión pública no sea tan marcada.

En el caso de la inversión pública anualizada de los gobiernos regionales, que participan con el 20% de este gasto, esta creció 8,3%, ritmo 1,3 puntos porcentuales superior al crecimiento de diciembre. En enero, esta creció en 75,6%, la tasa mensual más alta en dos años, aunque la inversión se concentró en pocos departamentos, como Ucayali (S/93 millones), Junín (S/10 millones), Puno (S/8 millones) y Loreto (S/3 millones).

EMPRESAS PÚBLICAS
En cuanto a las empresas públicas que están bajo el ámbito del Fonafe, las utilidades anualizadas aumentaron en enero de este año frente a similar mes del 2018.

Las utilidades sumaron alrededor de S/1.765,7 millones, 9,2% inferior frente a similar período del año anterior. Entre las entidades con mayores pérdidas, destacan Essalud y el Banco Agropecuario, mientras que el Banco de la Nación y Electro-Perú generaron las mayores ganancias.

domingo, 6 de enero de 2019

La inversión pública, por Claudia Cooper.


“La prioridad política en lo que respecta al desarrollo de la infraestructura ha hecho que muchos gobiernos relajen sus controles, en lugar de mejorar los procesos públicos y la cartera de empresas privadas”.

EX MINISTRA DE ECONOMÍA Y FINANZAS



Uno de los pilares más importantes de la competitividad es la infraestructura. Es un potente reactivador de la economía en el corto plazo y a la vez genera crecimiento de largo plazo. En ello hay consenso en el Perú hace más de 15 años. Así, a las reformas macrofinancieras iniciadas a fines de los 90 se suma la creación del Sistema Nacional de Inversión Pública (SNIP).

Se estableció la aplicación obligatoria del ciclo de inversión, compuesto por cuatro fases: 1) la programación; 2) la preinversión, que comprende la elaboración del perfil y los estudios de prefactibilidad y factibilidad; 3) la inversión, en la cual se elabora el expediente técnico y se realiza la ejecución física; y 4) la posinversión, en la que se realizan los procesos de control y evaluación ex post.

En la programación, los proyectos de inversión pública (PIP)debían regirse por las prioridades de los planes estratégicos nacionales, sectoriales y subnacionales. En la fase de preinversión, los sectores son los que evalúan y declaran la viabilidad, mientras que el MEF (como rector independiente) regula la programación, el adecuado cumplimiento del ciclo del proyecto y el funcionamiento del banco de inversiones. Asimismo, promueve la generación de capacidades para la programación y la formulación, lo que puede delegarse en especialistas inscritos.

El éxito del sistema requería crear las condiciones para la elaboración de planes de inversión. Sin embargo, esto no ocurrió y la planificación derivó en un proceso político que inundó el país de proyectos superfluos como sedes municipales sobredimensionadas, monumentos impensables y proyectos inutilizables como piscinas donde no hay agua y carreteras donde no hay terrenos, o proyectos sin financiamiento para terminarlos, operarlos y mantenerlos.

En cuanto a la formulación y evaluación, el vertiginoso crecimiento de los recursos por el ‘boom’ minero no trajo consigo la creación de capacidades para diseñar proyectos ni la capacidad empresarial para ejecutarlos adecuadamente. Así, la fase de evaluación se convirtió en un formalismo, en la que los estudios de preinversión eran delegados a ‘especialistas’ que los vendían con el único propósito de pasar el trámite.

Por otro lado, un único proceso de formulación para todos los proyectos, sin diferenciarlos por su complejidad, agravó la situación. Así, la instalación de aire acondicionado, la rehabilitación de un ascensor o la construcción del cerco perimétrico requerían de la misma complejidad de análisis que un proyecto de irrigación, una carretera o una planta de tratamiento de agua.

Por último, la posinversión no tuvo éxito en el control, quedando circunscrita al seguimiento de la ejecución financiera del proyecto. La introducción del nuevo sistema de inversión pública en el 2016 buscó corregir las falencias del SNIP. En la programación, la realidad de las brechas (antes que la planificación) es lo que determina la priorización de los proyectos y es en base a ella que se plantean objetivos e indicadores de resultados.

Se introdujo flexibilidad en la formulación, estableciendo requisitos diferenciados según la complejidad de cada PIP y eliminando, para las inversiones que no constituyen proyectos (optimización, ampliación marginal, reposición y rehabilitación), los requisitos de la programación y la preinversión. Para los PIP pequeños, la formulación se restringe a una ficha, mientras que a aquellos más grandes y que no son estandarizables sí se les exige un estudio que sustente su concepción técnica y dimensión. Únicamente los proyectos con un costo superior a US$500 millones requerirán de un perfil reforzado.

Quedaba pendiente un buen sistema de control de costos transparente, eficiente, ágil y basado en la estandarización. Sin embargo, la reciente modificación a Invierte.pe se centró en aliviar el malestar que la programación y el registro de las intervenciones producían sobre las autoridades. Se decidió volver al planeamiento como mecanismo de priorización y eliminar la fase de formulación y evaluación para todos los proyectos cuyo costo no supere los US$500 millones.

La prioridad política en lo que respecta al desarrollo de la infraestructura ha hecho que muchos gobiernos relajen sus controles, en lugar de mejorar los procesos públicos y la cartera de empresas privadas. Ya conocemos el resultado.